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Réjouissez-vous chers lecteurs, aujourd'hui on va parler d'un groupe Islandais qui donne la pêche ! Ce n'est pas peu dire car ces dernières années, les choses qu'on voyait descendre du lointain pays étaient toujours très bonnes, mais malgré tout assez sombre ! Ce n'est pas les Solstafir, Misà¾yrming et autres Kaelan Mikla qui diraient le contraire.

Mais aujourd'hui, le soleil brille dans le monde magique de (insérez ici nom de pays imaginaire), les oiseaux chantes, les dragons se dorent la pilule sur un rocher comme des alligators repus. C'est une belle journée pour aller baguenauder dans la pampa avec notre héro de niveau cinq pour taquiner l'escrime avec des trolls des forêts. Et pour se donner plein d'entrain, rien de tel que le premier album de Power Paladin.

Rien qu'avec la pochette d'album que je ne vous ai que partiellement décrite, on sait à quoi s'en tenir : pas tant de péril que de lumière. Même le logo ressemble à une marque de jouet trop géniale qu'on rêve de déballer à Noà«l.

Le Heavy Power survitaminé de Power Paladin est épique, il dégage une énergie folle. à‡a délivre des notes à 100 à l'heure, avec des riffs classiques mais hyper savoureux, des voix aiguà«s qui rappellent Timo Kotipelto ou Ben Sotto, des nappes de claviers qui accentuent le côté enjoué à la Dragonforce ; et des guitares solistes un peu Hard FM qui finissent de rendre le mélange frais et très réjouissant.

C'est pro, technique, maîtrisé, et très fédérateur ; fort abouti pour un premier essai. Vous tenez ici le parfait remède contre le vague à l'âme, parole de sorcier.

À Toute Blinde : Power Paladin - With the Magic of Windfyre Steel