Retour sur State of Decay

Un peu comme tout le monde ces derniers temps, j'ai posé les yeux sur la série HBO The Last of Us, que j'ai trouvé sympathique, sans grand plus...

VOUS NE PASSEREZ PAS ! - Orcs Must Die !

À travers certaines chroniques que je vous avais présenté, vous savez que j'ai un goût assez divers en jeu-vidéo. Je peux valdinguer du conceptuel au bien ficelé, jusqu'au défouloir complètement gaga.

Horreur à  Oakmont : The Sinking City

J'ai hésité un moment à  écrire cet article, je ne m'en cache pas. Après tout, vu l'aura mondiale d'H.P Lovecraft, la notoriété presque insolente de sa mythologie, et sa place dans la Pop Culture ; je m'étais fait l'idée que The Sinking City, sorti en 2019, n'avait échappé à  personne, que tout le monde en avait soupé suffisamment...

Pan Pan Boom Racatacatacataca Pew Pew :

Par manque de temps, je ne suis pas assez joueur à  mon goût. Après tout, jouer au jeux-vidéos, c'est un peu comme lire des romans, ça nécessite qu'on ait assez régulièrement le temps de s'asseoir confortablement quelque part, et d'y passer un temps suffisant pour se repaître pleinement du contenu qui nous est proposé...

Le chemin, tout simplement : Dear Esther

Le jeu-vidéo est-il un art ? Si la question fait de moins en moins débat en 2021, (en faveur du oui, bien-sûr,) c'est bien qu'au cours de sa glorieuse histoire, le jeu-vidéo a connu quelques coups de génies qui lui ont donné une place à  part dans les expérience, de perception ; tout comme le cinéma s'est séparé autant de la photographie que du théâtre pour s'imposer en discipline à  part entière des beaux arts...

Saving Private Beer : SEUM - Speedrunner

Le confinement a permis de renouer avec des activités qu'on n'avait parfois plus le temps de faire, qu'on avait oubliées. En ce qui me concerne, dans les moments où je ne télé-travaillais pas, j'ai retrouvé le plaisir de relire des romans, de coudre, mais aussi de jouer aux jeux-vidéos. Comble de l'aubaine, s'il est une industrie qui a bien profité du confinement pour faire marcher le dématérialisé, c'est bien celle-ci, et c'est tout naturellement qu'au gré des promotions Steam, j'ai acheté SEUM : Speedrunners From Hell.

L'art de bien vieillir : Nosferatu - The

Je vais vous faire une confidence : c'est rare que je mette beaucoup d'argent dans un jeu-vidéo. Comprenez-moi, étant principalement consommateur de musique, de films et de livres, ainsi qu'un fervent chineur de la bonne occasion, je mets très rarement 50 à  60 euros dans un jeu, tout simplement parce que rien dans ma consommation de culture n'atteint ce prix, et c'est souvent ce qui me permet d'en récupérer une multitude. À force de faire le tour des boutiques de seconde main, de destockage, et bien-sûr de surveiller les bonnes affaires en ligne, on peut vite se constituer une coquette collection pour pas un sou, et s'occuper des heures durant.