La contrebasse - Patrick SàœSKIND
Patrick SàœSKIND, un nom très souvent, pour ne pas dire trop souvent, associé au roman « Le PARFUM », un livre dans lequel le lecteur suit les pas de Jean Baptiste Grenouille, un serial killer dont le mobil est à chercher du côté de l'odorat, des odeurs (notamment des odeurs corporelles) et de la reconnaissance (no spoil, je vous invite à (re)découvrir ce chef d'Å“uvre de la littérature).
Pourtant l'écrivain allemand a écrit d'autres Å“uvres, « LE PIGEON » (Die Taube), une pièce de théâtre « LA CONTREBASSE » (Der Kontrabass) dont il est question dans cet article. La reconnaissance est également une thématique centrale de cette dernière, qui, pour la petite histoire, a été portée sur les planches françaises par Jacques Villeret au début des années 90, et plus récemment (2014) par Clovis Cornillac. En ce qui me concerne, je trouve que Jacques Villeret incarnait mieux le joueur de contrebasse, notamment par rapport à l'idée que l'on se fait de cet antihéros, tant physique que psychologique, au fil des pages.