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Les ombres du passé : Le Diable en Gris

Les amis, si vous êtes à  la recherche du grand frisson, cette chronique est pour vous ; sur le plan de la lecture cette fois-ci...

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Bourbon Kid

" Elle était assise à  sa table comme à  son habitude, mais elle avait beaucoup, beaucoup changé. Principalement parce qu'elle n'avait plus de tête".

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SOLOMON KANE (Robert E. Howard)

Présentation de l'univers de Solomon Kane, personnage sombre et mystérieux du XVIème siècle imaginé par Robert E. Howard (Conan le barbare...).

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Une dernière, et je vais sauver le monde

Chers lecteurs, aimez-vous les super-héros ? Etant donné leur succès ces vingt dernières années, ce ne serait pas pour ainsi dire fantastique ! Peut-être aimez-vous tendrement la folle saga du MCU, ou les séries Marvel plus intimistes sur Netflix. Peut-être encore êtes-vous un fan inconditionnel de comics, les plus sombres d'entre vous aimant certainement davantage DC Comics, les plus esthètes, Vertigo, et les plus japonophiles, One Punch Man. Mais saviez-vous, brave gens, qu'en des temps immémoriaux, nous aussi, nous avions nos super-héros Français, qui à  l'instar de leurs collègues, maîtrisaient l'art de castagner les malandrins ?

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Jean-Eric PERRIN - Sexe, drogues et roc

Jean-Eric Perrin nous retrace une partie de la vie extraordinaire, dans tous les sens du terme, de Fabienne Shine, la chanteuse et leader du groupe culte SHAKIN STREET.

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Belzebubs, le comic-book : Ces strips qu

En France, chers amis, on a de la chance. On a de la chance notamment parce qu'on prendre le média bande-dessinée au sérieux. On y croit en sa qualité de 9ème art, et on en consomme beaucoup. On a d'ailleurs un tel appétit pour les bulles que l'on nous en remercie bien au-delà  de nos frontières : après tout, nous sommes le plus gros consommateur de bande-dessinée Japonaise au monde... après le Japon bien-sûr, mais ce n'est pas rien !

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Mort, humour et humain : 1, 2, 3... ZOMB

Lecteurs du jour, bonjour ! Aujourd'hui on s'attaque a une petite lecture légère si vous avez le goût du sang et de la putréfaction !

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Fuck Me Jesus ! : Le Grand Pouvoir du Ch

Comme tout bel art qui se respecte, la bande-dessinée à  ses monuments. Des monuments d'une telle grandeur que certains libraires doivent suer sang et eaux dès que l'un d'entre eux attrape un rhume. Jean Van Hamme, sans aucun doute, fait partie de ces auteurs que les fans et les libraires adulent et dont on espère tous qu'il ira encore bien au-delà  de ses quatre-vingt-un ans bien comptés. Le sieur est quand même responsable de trois séries mythiques : Largo Winch, XIII et Thorgal. Sans compter le fait d'avoir eu un pied dans Blake & Mortimer, et d'avoir écrit pour le théâtre et le cinéma, l'auteur envoie du lourd. Rosinski non plus n'est pas en reste, car il peut plaider coupable pour avoir été le dessinateur du même Thorgal, sur ses trente-six tomes ; mais aussi du magnifique La Vengeance du comte Skarbek, parmi tant d'autres.

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Max Cavalera - My bloody roots. De Sepul

Sepultura. En voilà  un groupe qui enflamme les débats et déchaîne les passions. Certains ne jurent que par la période originelle Max Cavalera (la trilogie "Beneath The Remains - Arise - Chaos A.D"); d'autres préfèrent la période plus récente Derrick Green (plus hardcore avec un groupe qui a su se renouveler sur "The Mediator Between Head and Hands Must Be the Heart" et "Machine Messiah"). En ce qui me concerne les 2 périodes sont différentes et complémentaires. Il est donc vain et stérile de vouloir les opposer à  tout prix.

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La contrebasse - Patrick SàœSKIND

Patrick SàœSKIND, un nom très souvent, pour ne pas dire trop souvent, associé au roman « Le PARFUM », un livre dans lequel le lecteur suit les pas de Jean Baptiste Grenouille, un serial killer dont le mobil est à  chercher du côté de l'odorat, des odeurs (notamment des odeurs corporelles) et de la reconnaissance (no spoil, je vous invite à  (re)découvrir ce chef d'Å“uvre de la littérature). Pourtant l'écrivain allemand a écrit d'autres Å“uvres, « LE PIGEON » (Die Taube), une pièce de théâtre « LA CONTREBASSE » (Der Kontrabass) dont il est question dans cet article. La reconnaissance est également une thématique centrale de cette dernière, qui, pour la petite histoire, a été portée sur les planches françaises par Jacques Villeret au début des années 90, et plus récemment (2014) par Clovis Cornillac. En ce qui me concerne, je trouve que Jacques Villeret incarnait mieux le joueur de contrebasse, notamment par rapport à  l'idée que l'on se fait de cet antihéros, tant physique que psychologique, au fil des pages.

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Murder Falcon (Daniel Warren Johnson / M

La lecture de comics, anciens comme récents, fait partie intégrante de mon quotidien. Lorsque j'ai appris que Delcourt allait sortir la mini-série MURDER FALCON, mon sang n'a fait qu'un tour. En effet ce récit dispose de plusieurs atouts dans sa besace : il est initialement sorti chez Image Comics qui, pour moi, reste un gage de qualité et d'innovation (les 30-40 ans se souviennent surement de l'arrivée fracassante de cette maison d'édition en France avec des titres cultes comme Spawn, WildC.A.T.S, Cyberforce, Youngblood, The Savage Dragon, Gen 13…) ; il a pour thématique centrale le Metal et sa « mythologie » (ce qui fait que l'on en parle aujourd'hui sur Blastphème) ; et surtout on ne s'ennuie pas une seconde à  la lecture des 206 pages (récit complet).

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Ce livre que vous cachez : Heca-Tomb -

L'horreur est un genre parcouru de nombreux méandres. Aujourd'hui les amis, on s'en va explorer des recoins sals, des recoins inavouables. Les amis, aujourd'hui, du petit bout de la lorgnette, on va faire un petit tour du côté du splatter-gore. Et avant que les âmes les plus prudes n'interviennent pour crier à  l'immondice, il ne faut pas oublier que depuis des temps immémoriaux, certains types de spectateurs se repaissent de démonstrations choquantes pour assouvir leur soif de sang. Après tout, les spectacles de gladiateurs, s'ils étaient beaucoup moins mortels qu'on le pense, étaient violents et sanglants pour le bon plaisir des yeux. Pire encore, à  votre avis, pourquoi jusque très tard les exécutions étaient-elles publiques ? Inutiles de se voiler la face, vils primates que nous sommes, quelque chose en nous est fasciné par le sang et la violence. Et là  où il faut se réjouir, c'est que depuis l'apparition des spectacles Grand Guignol, puis du cinéma, on peut voir les gens mourir de façon toujours plus spectaculaire, sans mourir vraiment. Réfléchissez-y, l'art gore est-il si affreux que ça ?